mardi, août 26, 2014

La Traque - Andrew Kaplan


Quatrième de couverture: 
Beyrouth 2006. Carrie Mathison, agent de la CIA, se rend à un RV avec un contact dont le nom de code est Nightingale. Mais c’est un piège dont elle réchappe de justesse. Elle en déduit qu’on a infiltré le QG de la CIA. Elle s’en ouvre à son supérieur, ce qui provoque un conflit violent ; Carrie est aussitôt renvoyée à Langley. Carrie est incroyablement douée, et très fragile aussi. Elle souffre de troubles bi-polaires qui l'handicapent mais lui permettent aussi de reconnaître et d’anticiper des schémas comportementaux bien particuliers. Bien sûr, elle cache ses troubles pour protéger sa carrière. Carrie se persuade qu’un complot se trame et veut retourner à Beyrouth à tout prix. Elle demande de l’aide à Saul Berenson, son boss, son mentor, son confident, celui qui l’a recrutée quand elle était à Princeton. Mais le chef du contre-terrorisme, David Estes, un homme habile et très politique, rejette sa demande. Carrie est hors d’elle et n’a plus de temps alors elle risque le tout pour le tout et commet un acte d’insubordination qui lui permet de découvrir une preuve qui relie Nightingale à Abu Nazir, le chef d’Al-Qaïda en Irak. Elle devient obsédée par Abu Nazir et s’embarque dans une poursuite qui va pratiquement la détruire. Le roman Homeland, La Traque contient les mêmes éléments de suspense et les mêmes retournements qui ont fait de la série Homeland une série totalement addictive. Le roman plonge les lecteurs encore plus loin dans le monde du contre-terrorisme et de l’espionnage et nous révèle des détails inédits de la vie de Carrie.

On retrouve Carrie ici dans ses premières aventures avant le début de la série et Brody. Je suis fan de Homeland, mais je n'ai pas tellement apprécié la lecture de cette aventure pré-série même si ça permet de comprendre certains aspects de la personnalité de Carrie... pour résumer, c'est le genre de littérature que je préfère voir interprété sous forme de série. 

Ce livre participe au Challenge Thrillers et Polars.


Aucun commentaire: